F. J. Ossang : la faim du monde
Analyse de Bernard Benoliel

12 mars 2018

F. J. Ossang est devenu et reste, souverain et seul sur sa branche, l'oiseau rare du cinéma français. Rare et même isolé, car qui se soucie, hier comme aujourd'hui, de ce que deviennent les enfants naturels d'Epstein ? Il faut dire que les films de FJO n'ont jamais tenu dans l'espace balisé d'un cinéma hexagonal qui ne sait, en retour, comment l'inclure : « No place », dit Elvire à l'entrée d'un cinéma dans Docteur Chance.

Essai vidéo sur le cinéma de F. J. Ossang, à l'occasion de la rétrospective que lui consacre la Cinémathèque française du 17 au 19 mars 2018.