Générique
Réalisateur :
Billy Wilder
Assistant réalisateur :
Sam Nelson
Auteur de l'oeuvre originale :
Robert Thoeren, Michael Logan
Adaptateurs :
I.A.L. Diamond, Billy Wilder
Sociétés de production :
Ashton Productions, The Mirisch Corporation
Producteur :
Billy Wilder
Producteurs associés :
I.A.L. Diamond, Doane Harrison
Directeur de production :
Allen K. Wood
Distributeur d'origine :
United Artists
Directeur de la photographie :
Charles Lang
Ingénieur du son :
Fred Lau
Compositeur de la musique originale :
Adolph Deutsch
Chorégraphe :
Jack Cole
Directeur artistique :
Ted Haworth
Décorateur :
Edward G. Boyle
Costumier :
Orry-Kelly
Maquilleurs :
Emile LaVigne, Allan Snyder
Coiffeurs :
Agnes Flanagan, Alice Monte
Monteur :
Arthur P. Schmidt
Coordinateur des effets spéciaux :
Milt Rice
Cascadeurs :
Paul Baxley, Carey Loftin, Polly Burson
Photographes de plateau :
Bernie Abramson, Floyd McCarty
Interprètes :
Marilyn Monroe (Sugar Kane), Tony Curtis (Joe et Joséphine), Jack Lemmon (Jerry et Daphne), George Raft (Spats Colombo), Pat O'Brien (Mulligan), Joe E. Brown (Osgood Fielding III), Joan Shawlee (Sweet Sue), Nehemiah Persoff (Little Bonaparte), George E. Stone (Toothpick Charlie), Billy Gray (Sig Poliakoff), Mike Mazurki (un gangster), Dave Barry (Beinstock), Al Breneman (un porteur de l'hôtel), Edward G. Robinson Jr. (Johnny Paradise), Beverly Wills (Dolores), Joan Fields (une musicienne), Barbara Drew (Nellie), Harry Wilson (un gangster), Pat Comiskey (un gangster), Mary Foley (une musicienne), Joe Gray (un gangster au banquet, Harold " Tommy " Hart (un officier), Paul Frees (le conseiller funéraire), Ted Hook (un officier), Marian Collier (Olga), John Indrisano (un serveur), Tom Kennedy (un videur), Jack McClure (un chauffeur de la bande des truands), Sandra Warner (Emily), Penny McGuiggan (une trompettiste de l'orchestre), Laurie Mitchell (une trompettiste de l'orchestre), Colleen O'Sullivan (une musicienne de l'orchestre), Grace Lee Whitney (une musicienne de l'orchestre), Helen Perry (Rosella), Arthur Tovey, Danny Richards Jr., Bert Stevens, Sam Bagley, Fred Sherman, Tito Vuolo
Le délicieux duo Tony Curtis / Jack Lemmon, Marilyn qui habite l'écran, et la magie opère. Quiproquos, comique de situation, gestuelle, dialogues enlevés, et un génial sens du raccourci font de Certains l'aiment chaud un joyau de comédie. Wilder plante des aiguillons partout, vise l'Amérique de la Prohibition, la mafia, le FBI, et manie l'art du faux-semblant avec dextérité et surtout une délectation communicative. Variation légère sur le travestissement, et de loin sur l'homosexualité, Certains l'aiment chaud est aussi une réflexion plus profonde sur le machisme et sur la sexualité, d'une totale modernité.