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Avec James Ellison, Frances Dee, Jeni LeGon, Tom Conway.
Une infirmière est envoyée sur une île des Caraïbes afin de s'occuper de Jessica, la femme malade d'un propriétaire terrien. Mais les habitants de la région pensent que Jessica a été hypnotisée.
« Dans Vaudou, son chef-d'œuvre, le trouble et l'incertitude sont d'une autre nature : le suspense est désamorcé et plus grand-chose ne restera caché. Ici, loin de l'efficacité hollywoodienne, les oppositions et les limites s'abolissent progressivement : comme dans une cérémonie vaudou, tout se déplace, tout s'ouvre, tout se suspend. Et, contrairement à la plus tenace des idées reçues sur le cinéma de Tourneur, tout finit par apparaître. » (Marcos Uzal)
Générique
Réalisateur :
Jacques Tourneur
Assistant réalisateur :
William Dorfman
Scénaristes :
Curt Siodmak, Ardel Wray
Auteur de l'oeuvre originale :
Inez Wallace d'après une histoire
Société de production :
RKO Radio Pictures - Radio-Keith-Orpheum
Producteur :
Val Lewton
Distributeur d'origine :
Mac Mahon (Paris)
Directeur de la photographie :
J. Roy Hunt
Ingénieur du son :
John C. Grubb
Compositeur de la musique originale :
Roy Webb
Directeurs artistiques :
Albert S. D'Agostino, Walter E. Keller
Décorateurs :
Al Fields, Darrell Silvera
Maquilleur :
Maurice Seiderman
Monteur :
Mark Robson
Script :
Lou L. Ostrow
Interprètes :
James Ellison (Wesley Rand), Frances Dee (Betsy Connell), Tom Conway (Paul Holland), Edith Barrett (Madame Rand), James Bell (le docteur Maxwell), Christine Gordon (Jessica Holland), Teresa Harris (Alma), Sir Lancelot (le chanteur de calypso), Darby Jones (Carrefour), Jeni Le Gon (la danseuse)
« Dans Vaudou, son chef-d'œuvre, le trouble et l'incertitude sont d'une autre nature : le suspense est désamorcé et plus grand-chose ne restera caché. Ici, loin de l'efficacité hollywoodienne, les oppositions et les limites s'abolissent progressivement : comme dans une cérémonie vaudou, tout se déplace, tout s'ouvre, tout se suspend. Et, contrairement à la plus tenace des idées reçues sur le cinéma de Tourneur, tout finit par apparaître. » (Marcos Uzal)