Générique
Réalisateur :
Richard Fleischer
Assistants réalisateurs :
Russell Saunders, Malcolm R. Harding
Scénariste :
Stirling Silliphant
Auteur de l'oeuvre originale :
Joseph Wambaugh d'après le roman "The New Centurions"
Sociétés de production :
Columbia Pictures, Chartoff-Winkler Productions
Producteurs :
Robert Chartoff, Irwin Winkler
Producteur associé :
Henry Gellis
Directeur de production :
Russell Saunders
Distributeur d'origine :
Columbia Films (Paris)
Directeur de la photographie :
Ralph Woolsey
Cadreur :
Chris Schweibert
Ingénieurs du son :
Arthur Piantadosi, William Randall
Compositeur de la musique originale :
Quincy Jones
Créateur des décors :
Boris Leven
Décorateur :
Harry Reif
Costumier :
Guy Verhille
Maquilleurs :
Del Acevedo, Dave Grayson
Coiffeur :
Delree F. Todd
Monteur :
Robert C. Jones
Script :
Duane Tober
Directeur de casting :
Lynn Stalmaster
Cascadeur :
Carey Loftin
Photographe de plateau :
John Monte
Interprètes :
George C. Scott (Kilvinski), Stacy Keach (Roy), Jane Alexander (Dorothy), Scott Wilson (Gus), Rosalind Cash (Lorrie), Erik Estrada (Sergio), Clifton James (Whitey), Richard E. Kalk (Milton), James Sikking (le sergent Anders), Beverly Hope Atkinson (Alice), Mittie Lawrence (Gloria), Isabell Sanford (Wilma), Carol Speed (Martha), Tracee Lyles (Helen), Burke Byrnes (Phillips), William Atherton (Johnson), Peter DeAnda (Gladstone), Ed Lauter (Galloway), Dolph Sweet (le sergent Runyon), Stefan Gierasch (le propriétaire), Debbie Fresh (Rebecca), Mike Lane (le bûcheron), Roger E. Mosley (le chauffeur de camion), Charles H. Gray (Bethel), Read Morgan (Woodrow Gandy), Michael DeLano (Ranatti), Adriana Shaw (la mère ivre), Pepe Serna (le jeune mexicain), Bea Thompkins (Silverpants), Hilly Hicks (le jeune homme noir)
Le quotidien de flics de Los Angeles, adapté de The New Centurions, best-seller signé par un ex-policier. À cheval sur deux époques, le classicisme d'après-guerre et le Nouvel Hollywood, Les flics ne dorment pas la nuit atteint un point d'équilibre miraculeux, qui connaît peu d'équivalents dans le cinéma des années 70. Si le regard naturaliste que Fleischer pose sur le métier de policier ne se départit jamais de la grande forme hollywoodienne, il est teinté du vent nouveau qui soufflait alors sur les studios. Stacy Keach, figure idéale de la lose des années 70 (Fat City) et George C. Scott, inoubliable Patton chez Schaffner, incarnent deux générations de cinéma, mais surtout, chacun à leur manière, tout le désenchantement et la violence d'une époque. Avec une immense BO signée Quincy Jones.